Stade de l’Olympique lyonnais : comment les punks à chiens ont brisé l’opposition
9 septembre 2013 15:25, par MagnaVeritasLeur tendance à dégouter les gens des combats qu’ils prétendent mener est à rapprocher de l’écologie politique, qui a réussi l’exploit de dégouter tout le monde de la véritable écologie.
Après quelques lignes, quand j’ai compris de quoi traitait l’article, c’est-à-dire d’une stratégie gouvernementale de haut niveau, j’ai tout de suite pensé à l’écologie politique. Vous avez très bien compris. C’est ce que Stan Maillaud appellerait peut-être une stratégie de paratonnerre : canaliser l’énergie vers des voies sans issues.
D’ailleurs, les "manifs" font partie de ce genre de stratégies. On conquiert par la loi ou par les armes, pas par l’agitation. Et cela, je l’ai compris dès l’âge de 12 ans.
D’ailleurs, je vais citer l’autre cuisinier médiatique dont j’ai oublié le nom : s’agiter n’est pas agir.
Là, c’est un peu plus compliqué, car ça fait appel à d’autres stratégies : occupation de l’espace, diversion, épouvantail inversé, utilisation de 2 groupes tiers (antifas et roms), etc.
Quant aux punks à chiens et autres déchets sociaux, je connais très bien ce genre de personnages : souvent des fils à papa qui font leur petite rebellion en vivant dans des squats mais rentrent tous les week-end chez papa-maman pour prendre un bon bain. Ils le font jusqu’à 25-30 ans, en général.
Pour les autres, ce sont simplement des minables qui font les kékés, qui se donnent un genre "révolutionnaire" sans en être un. Ils ont les signes, mais pas le coeur. Ni le cran, puisqu’ils ne s’attaquent qu’aux vrais marginaux ou aux personnes affaiblies par le système. Ce sont des crevars antisystème avec leurs marlboro, leurs dock marteens, etc. toute la panoplie, coûteuse et prosystème, du petit rebelle. Des Matamores de la rebelle attitude. Tout dans la parole, rien dans les faits.
Ce ne sont que des questions de vanité. Ils grattent leur petit prestige de bikers/voyous/justiciers des mauvaises causes.
Combien j’en ai vu cracher sur la société alors qu’ils sont assistés de A à Z. Bref, leur place est à la poubelle.
A propos des roms, j’aimerais que les gens se demandent pourquoi ils ont la réputation de voleurs, et surtout de voleurs d’enfants.
Moi, je crois qu’ils sont impliqués dans réseaux de pédocriminalité, en tout cas une partie d’entre eux.
A une époque, quand les roms arrivaient, les gens se barricadaient chez eux. Une telle réaction ne peut pas être infondée.