Jacques Attali : "J’ai souvent comparé le monde à la Somalie..."
29 septembre 2013 14:15, par bob
Le dernier pirate somalien
Encore un pervers en acte, car dans son monde somalien il représente l’archétype du pirate, exemple même du parasite sans circonstances atténuantes, car nous ne pensons pas qu’il puisse évoquer un quelconque besoin vital pour justifier ses pillages. Tous ces malveillants nous font penser à des sangsues gavées du sang de leurs proies, gavées, mais jamais rassasiées. Ils gardent leurs victimes vivantes, toujours à la limite de l’anémie.
Quelle stratégie adopter pour se débarrasser de ces nuisibles ?
Dans la vraie vie, nous allumons une cigarette et nous brûlons la tête jusqu’à ce que la bête se décroche. Une fois à terre, il faut la faire éclater d’un coup de talon pour éviter qu’elle n’attaque une autre cible.
Dans le cadre de la résistance ne devrions-nous pas identifier le sang qui les engraisse afin de couper le robinet ? Car c’est une chose de subir le parasitisme, c’en est une autre de s’automutiler en leur fournissant les perfusions remplies de notre propre sang.
Libre selon l’esprit