C’est une idée géniale. Les Roms entrent. Les travailleurs sociaux travaillent, les subventionneurs subventionnent. Et à la sortie, les roms sont inserrés. Chapeau ! Fallait y penser. Puis les Roms sont exclus comme tout le monde. Ils retournent à l’entrée du village. Redonnent du travail aux travailleurs sociaux (cette fois-ci plus nombreux), les subventions sont plus conséquentes, les roms sont réinserrés. Une fois lâchés à l’extérieur les témoignages des Roms provoquent un scandale. Le Monde titre sur le village de l’Apartheid et ressort Karembeu qui raconte une nouvelle fois l’histoire de son grand-père Kanak qui s’était retrouvé exposé dans un ’village" lors d’une exposition universelle. Sous la pression générale, le village est démonté. Les travailleurs sociaux privés d’activité se mettent en grève. Sur ce, les Roms qui en sont à leur dixième tours de piste repointent leur truffe à l’entrée du village devenu entre temps un village olympique pour l’équipe de la Fistinière, friande elle aussi d’insertion. A la vue de l’entrainement très sportif des nouveaux résidents, les Roms deviennent fou. Les travailleurs sociaux s’interposent en vain. Un certain DSK, athlète émérite, réconcilie tout le monde. Mais une femen rom passe par là et provoque chez notre conciliateur-né une réaction que personne n’apprécie.
Générique de fin ! DSK est poursuivit dedans Pris, ville jolie, par tous les protagonistes. Arrivera-t’il chez Delanoë sain (hum !) et sauf ?