Dialogues désaccordés : Éric Naulleau seul et impuissant face à Alain Soral
17 novembre 2013 10:03, par souleres
J’aime NAULLEAU et DIEUDONNE. Les prairies sont remplies de couleurs et odeurs et autres riches multitudes qui meurent et se régérent en d’autres différentes couleurs odeurs et autres multitudes encore plus riches si on laisse la vie faire son oeuvre ...
Le fils peut croire le père au temps des cavernes tout comme on peut croire aux savoirs du jour.
Tout sera toujours en expansion et donc avec une vacuité temporelle mais aussi une richesse plus large.
Le passé est déjà riche mais le futur le sera davantage.
Pour en revenir aux problèmes du jour : La France d’aujourd’hui est simplement dans l’état que seraient les enfants grandissant avec toujours les mêmes injonctions du père.