Démocratie : histoire d’un malentendu
7 janvier 2014 05:34, par salez
Sans devoir traverser l’Atlantique, et pour rester bien chez soi, en se souvenant de trains passés depuis plus d’un siècle, on recommandera un génie bien de chez nous, pour pas qu’on nous la fasse que c’est une découverte, que d’avoir mis en lumière la supercherie du grand art qui consiste à usurper le processus électif, nous rendons ici hommage à Augustin COCHIN, et recommandons aux intéressés son ouvrage : "LES SOCIÉTÉS DE PENSÉE ET LA DÉMOCRATIE MODERNE - études d’histoire révolutionnaire". Il s’agit d’une étude de cas bien illustrée de l’usurpation des corps constitués et intermédiaires au temps de la révolution française, pour aboutir à n’envoyer aux assemblées que les gens qui devaient y être, en éliminant les gêneurs. Quand on a compris cela, on comprend le mensonge électif, depuis l’assemblée d’un simple syndic où quelque cacique est de mèche avec le docte expert architecte et syndic pour partager les marges arrières, et l’élection aux assemblées via le suffrage dit universel.