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Démocratie : histoire d’un malentendu

Pour Francis Dupuis-Déri, la démocratie n’est pas celle que l’on croit et son histoire est encore plus méconnue. Détestée et ridiculisée pendant des siècles, la démocratie était vue comme le pire des régimes pendant des générations en Occident. Dans Démocratie. Histoire politique d’un mot (Lux éditeur, 2013), le professeur au Département de science politique de l’UQAM conclut avec fracas : le Canada n’est pas une démocratie et ne l’a jamais été.

 

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54 Commentaires

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  • #658805
    Le 5 janvier 2014 à 06:52 par Scmitas
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    De quels droits certaines personnes s’approprient-ils les plages, les bois, les campagnes, les monuments nationaux, l’eau de pluie maintenant et bientôt l’air que nous respirons ?
    Ils nous font payer le droit de vivre. Ce ne sont que des usuriers sans scrupule qui se prennent pour la cuisse de Jupiter. Ils nous manipulent comme des légumes pour faire de la soupe. Puisse cette mixture les étouffer. Seul, Dieu nous aime, laissons lui la parole.

     

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  • #658905
    Le 5 janvier 2014 à 11:13 par Alcibiade
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    La Démocratie a Athènes, c’était le gouvernement du Démos, c’est à dire des citoyens qui représentaient 10% de la population . La Démocratie directe était possible à Athèes car l’Assemblée du Démos (Ecclesia) rassemblait quelques milliers de citoyens . Aujourd’hui grace aux ordis la démocratie directe est à nouveau possible mais nos maitres ne veulent pas en entendre parler . Le gros pb de la démocratie indirecte ou représentative , meme quand les représentants du peuple sont élus à la proportionnelle, c’est évidemment celui de la trahison des élus qui oublient leur promesse ou qui votent par intérêt des lois à l’opposé de celles qu’ils avaient promis de voter . JJ Rousseau, le grand ancètre de la gauche Française (pas de la gauche juive qui n’a jamais été une gauche), JJ affirme dans le Contrat Social que la démocratie n’a en fait jamais existé : à Athènes, les bouzeux ne prenaient pas la parole à l’Ecclesia, les orateurs appartenaient presque tous à de grandes familles, comme l’Alcméonide Périclès . Un bouzeux aurait-il pu faire voter la construction du Parthénon ? Pas sur... Il ne faut pas confondre Démocratie "gouvernement du démos" et OCHLOCRATIE " gouvernement de la populace " , ce que la France a connu en 1793 et qui ne lui a pas laissé un très bon souvenir... En ce qui concerne la France actuelle, la démocratie y a été remplacé depuis 1958 par la Judéocratie .

     

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  • #659207
    Le 5 janvier 2014 à 15:34 par mi
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    « La dictature, c’est ferme ta gueule. La démocratie, c’est cause toujours »

     

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  • #659291
    Le 5 janvier 2014 à 16:30 par fredb
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    Le seul moyen de rendre la démocratie plus démocratique est que les élus soient engagés et responsable de leurs promesses électorales et programmes présentés.

    Evidemment, cela se heurte au fait qu’on ne peut prédire l’avenir et que nombre de situations à venir ne peuvent être prévues au préalable.

    Il y a néanmoins souvent un tel éloignement entre la promesses et les actions qui s’en suivent une fois les politiciens en question élus, que le fait même de voter en perd sa valeur démocratique.

    Des obligations contrôlées et liées aux programmes et autres promesses est la seule option.

    Ou bien alors on accepte tout simplement de ne plus voter, car voter pour des gens qui ne sont absolument pas tenu par les raisons même qui les ont fait élire, c’est juste absurde.

     

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  • #659807
    Le 5 janvier 2014 à 22:01 par Eric
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    Si la France était une Démocratie au lieu d’être une République, les Français seraient non seulement des hommes et des femmes politiques mais ils seraient enfin maîtres de leur destin. Ils seraient en effet appelés à voter pour ou contre tel projet de loi au moins une fois par mois dans des bureaux de vote qui seraient de véritables agoras où les Français débattraient de sujets d’une grande importance, tandis qu’aujourd’hui ils perdent leur temps à regarder les émissions avilissantes de la télévision.

     

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  • #660523
    Le 6 janvier 2014 à 12:06 par Zorg
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    Ce type n’est même pas un féministe, c’est un ultra misandre dons les écrits ne font que radoter hommes violents et coupables / femmes douces et vicitimes

     

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  • #662782
    Le 7 janvier 2014 à 02:04 par cyril
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    Buveurs de thé anglais...méfiance.

     

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  • #662783
    Le 7 janvier 2014 à 02:05 par cyril
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    Moi j’ai jamais voté de ma vie !... Ma carte elle doit y être encore à la Mairie du "deuxième"... J’ai toujours su et compris que les cons sont la majorité, que c’est donc bien forcé qu’ils gagnent !... Céline.

     

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  • #662908
    Le 7 janvier 2014 à 05:34 par salez
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    Sans devoir traverser l’Atlantique, et pour rester bien chez soi, en se souvenant de trains passés depuis plus d’un siècle, on recommandera un génie bien de chez nous, pour pas qu’on nous la fasse que c’est une découverte, que d’avoir mis en lumière la supercherie du grand art qui consiste à usurper le processus électif, nous rendons ici hommage à Augustin COCHIN, et recommandons aux intéressés son ouvrage : "LES SOCIÉTÉS DE PENSÉE ET LA DÉMOCRATIE MODERNE - études d’histoire révolutionnaire". Il s’agit d’une étude de cas bien illustrée de l’usurpation des corps constitués et intermédiaires au temps de la révolution française, pour aboutir à n’envoyer aux assemblées que les gens qui devaient y être, en éliminant les gêneurs. Quand on a compris cela, on comprend le mensonge électif, depuis l’assemblée d’un simple syndic où quelque cacique est de mèche avec le docte expert architecte et syndic pour partager les marges arrières, et l’élection aux assemblées via le suffrage dit universel.

     

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  • #663332
    Le 7 janvier 2014 à 12:44 par david
    Démocratie : histoire d’un malentendu

    Belle trouvaille, lecture de
    "note sur la suppression générale des partis politiques"
    de Simone Weil
    en mp3

    http://www.litteratureaudio.com/liv...

    ps : si la flème de lire, 1 heure d’écoute, plus d’excuse !

     

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