Nora Fraisse, mère de Marion, victime de harcèlement scolaire qui a mis fin à ses jours
22 novembre 2013 23:51, par Ton DieuJe vais écrire plus clairement ma pensée concernant cette vidéo :
On a l’impression que la femme lit un texte et d’après son physique, sa manière de parler, j’en déduis qu’elle ne doit pas être une femme de ménage payée au SMIC et que si sa fille est une bonne élève, c’est qu’elle hérite du bon niveau scolaire, de cette capacité de travail qu’on retrouve dans les familles assez aisées qu’ont les enfants fils de profs, d’ingénieur ou de chef d’entreprise... Favorisés, de bonnes vacances l’été et maman pour venir la chercher à l’école dans le confort de la dernière audi ou du dernier 4x4 BMW...
Ce qui m’énerve dans cette Histoire, c’est que d’une part, ces crétins de profs qui viennent d’assez bons milieux pour la plupart ( d’ou le fait qu’ils se plaignent constamment du salaire ) n’ont pas cette conscience sociale de la scolarité. Ils ne comprennent pas qu’il est beaucoup plus simple de travailler et d’apprendre dans de bonnes conditions familiales, sociales et financières que dans une famille de smicards violente dont le père frappe sur la femme pour se venger de sa frustration personnelle... Et en général, lorsqu’il repère un élève en difficulté - eux ayant toujours travaillé à l’école car ayant bénéficié d’un bon milieu et n’ayant jamais compris qu’on puisse ne pas travailler - se mettent aussitôt, par leurs analyses fines de paladin pauvres, de Don quichotte, d’hommes de gauche zélés ; a vouloir pourfendre le vice du poil dans la main et a enfoncer encore plus le harcelé, le persécuté... Et l’enfonce au lieu de l’aider ! Si les profs été intelligents, le harcèlement scolaire ne pourrait être possible. Ils ont une lourde responsabilité du haut de leur petite arrogance d’intellectuels surfaits et bourgeois.
Deuxièmement, ce qui protège du harcèlement, ce sont les amis, le cercle sociale. Ils s’attaquent toujours à une proie faible ou à une cible qui en conséquence ne leur fera pas perdre quelques avantages ( genre ne pas s’attaquer à un ami de la fille belle pour pouvoir l’approcher en se servant de cet ami ). Par conséquent, les jeunes issus de famille éclatées, atomisées, smicardes, violentes, étant moins bien socialisés ( car c’est le rôle de la famille, les timides, les phobiques, viennent de famille à problème ou à mère poule ) se retrouvent donc seuls et victimes potentiels. C’est donc plus généralement les fils de prolos qui sont les plus attaquables. Pas les intellos de bonne famille...