Deux choses choquantes :
1. Qu’une telle copie mérite un 11 en dehors de toute "citation douteuse"
2. Qu’un 3 lui soit accordé non pas pour hors-sujet, mais pour ladite citation douteuse.
Je ne vois dans le commentaire de cette professeure, que l’éternelle frustration de la classe enseignante : tout comme l’employé des douanes noir américain qui n’hésitera pas à faire du zèle sur un blanc venant d’Europe (au point de le mettre à poil, et au mépris même de savoir si il comprend ce qui se passe), les professeurs de collège/lycée cultivent le sentiment qui les rongent intérieurement.
Ayant eu la chance de connaître deux systèmes d’enseignement très différents je sais de quoi je parle.
Maintenant médecin, je me rend compte à quel point le mode selon lequel nous étaient enseignées les choses relevaient plus du mépris que de la passion ne serait-ce que du sujet enseigné (on ne peut pas non plus demander aux professeurs "d’aimer tous les ados", même si en définitive celait paraîtrait logique..... mais le comportement humain à ses contraintes et limites)
L’argumentaire de la professeure est initialement juste ; la forme est fluette et le fond plat. Néanmoins, il était inutile de "pamphletiser" ainsi sur A.Soral. Cette réaction, à la limite de l’hystérie, laisse presque entr’apercevoir une folle furieuse genre "chienne de garde", dont le discours bas du front est en totale contradiction avec la fonction qu’elle est censée avoir, celle d’enseignante de philosophie.....hors nous assistons à tous sauf à une correction philosophique.
Un ton aussi péremptoire, ne serait-ce que concernant un devoir sur le "Mein Kampf", est digne d’un Mimile accoudé au zinc du bar du commerce.
Mais laissons ces chers professeurs se gausser de toute leur suffisance et surtout ne venont pas écailler le vernis de leur auto estime avec nos paroles d’indignation.....même si ce devoir n’est pas à la hauteur.