Problème réel de liberté ou politique de double standard ?
9 janvier 2014 13:19, par FrankTrouvé sur Internet, à méditer.
"Pour bien comprendre la différence entre antisémitisme et antisionisme, le mieux, c’est encore à un juif qu’il faut poser la question :
http://www.youtube.com/watch?v=iSH1...
Ce qui est grave maintenant dans l’affaire Dieudonné, et c’est que selon ce que l’on apprend dans ce reportage, c’est qu’il s’agirait de lobbys de l’extrême droite Israélienne, et donc soutenus par un ministre prétendument de gauche, Manuel VALLS.
La "quenelle" serait donc un salut nazi inversé ? Les "quenelliers" apprécieront qu’on les traite d’abrutis au passage, ne sachant pas la signification d’un geste qu’ils affectionnent pour sa connotation anti-système. Ils se trompent lourdement. Ils ne sont que de vulgaires antisémites...
Et Dieudonné dans tout cela ?
http://www.youtube.com/watch?v=44Gc...
Tout comme pour la mariage pour tous, ou les homosexuels sont maintenant confrontés à la haine et à la répression insidieuse alors même qu’en grande majorité ils n’avaient rien demandé, les juifs modérés de ce pays se retrouvent encore une fois en première ligne, sans défense. Il est toujours plus facile de s’en prendre à une minorité - moins de 1% de la population - que de s’en prendre à de puissantes communautés. Forts avec les faibles, et faibles avec les forts...
Depuis 1988, date à laquelle les socialistes remportent une nouvelle fois les élections, alors qu’ils sont minoritaires, ils n’ont cessé de faire monter les extrêmes, et notamment le Front National. Celui là même qui s’abstient de voter à droite, quand la gauche n’hésite jamais à s’allier avec son extrême gauche. Depuis 2002, ils remportent ainsi avec les mêmes méthodes toutes les élections. Sont ils légitimes ?
Sommes nous en danger ? Sommes nous toujours dans une démocratie ? Trouvez vous normal qu’un élu utilise tous les moyens de la république pour s’attaquer à un homme, qui même si les propos sont condamnables, n’a pas les mêmes moyens ? Trouvez vous normal que l’on s’en prenne publiquement et ouvertement à qui que ce soit, alors qu’on est ministre de la république, et que par dessus tout, on ne doit pas prendre partie pour quelque communauté qu’elle soit, au risque de trahir le pacte de neutralité qu’impose la laïcité ?
La démocratie est décidément bien malade, glisse jours après jours vers le totalitarisme..."