Le Nouvel Observateur va encore perdre quelques millions d’euros cette année.
Et si les gens ne lisent plus la presse papier, c’est pour diverses raisons, mais principalement : ce genre d’article (insultant et lâche, conformiste, lourd, mal renseigné, et à côté de la plaque...), du bobo-journalisme assis et parisien, si loin de ce qui est vécu par le peuple...
D’autre part, ce style de prose, pour un journal, c’est un peu la double punition puisqu’en plus d’effarer le lecteur un peu renseigné, il prouve que Soral est dans le vrai, au moins dans sa charge contre les médias français. Au final, la seule utilité de cet article est de faire connaître encore un peu plus Alain Soral, ce qui montre à quel point les chefferies paniquent.