Marie-France Etchegoin à du style dans son écriture, de plus elle travail dans un grand journal, sans oublier que M’dame à un gros salaire, qui lui permet d’avoir d’immenses crédits, pour se payer une vie de confort digne de ce nom (Et Ce Goyin ? Non ! Quand même !) ; digne de colons en Palestine, digne des esclavagiste dans les plantations du nouveau monde, digne des conquistadors en 1492 face aux amérindiens : en un mot INDIGNE !
Je remercie, Marie-France Etchegoin, pour les éléments qu’elle m’apporte afin d’expliquer comment un être vivant, avant son trépas, peut perdre son âme, tous sentiments, ou l’humanité propre à toutes créatures !
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