En période électorale, il était en train de tracter, en face du Monoprix, en bas de l’avenue de la Résistance, un dimanche matin, il faisait beau temps.
L’enfoiré, même pas peur, il me tend un papier...
En passant devant, je lui dis : "faites quelque chose de votre vie..."
Apparemment, c’est entré d’un côté, c’est ressorti...
Le gratin du personnel municipal s’était paraît-il ému lorsque lycéens dans cette ville, on avait repeint un certain nombre de devantures de magasins, sur l’avenue principale qui descend à la gare. Des p’tits tafs qui faisaient plaisir à tout le monde, les commerces étaient embellis,et nous, on grattait une petite thune pas volée.
C’est là qu’on constate la logique mafieuse de ces enculés, sur des trucs de trois fois rien.
Imagine le reste. Sors les sacs.