ne pas comprendre , qu’il n’y a absolument pas la clientèle pour 270 films par an relève de l’autisme. Surtout que sur les 270 films annuels, si une trentaine ont des chances d’être exportés, c’est bien le maximum.
Sans subvention, moins de 120 films trouveraient leurs producteurs, ce qui ferait encore, 2 films nouveaux par semaine, ce qui serait largement suffisant ,compte tenu du public qui va au cinéma.
La pauvreté des scénarios est affligeante. La vie sexuelle tourmentée des bobos parisiens restant le thème fétiche des auteurs de scénarios. Faire des films sur leur petit monde étant leur principal but.
Je n’ai jamais trouvé Intouchable, comme un très bon film. Son succés n’est dû qu’à l’originalité du scénario (et à la bonne prestation d’Omar Sy). A la rigueur , le scénario étant risqué, il pouvait avoir une aide à la création, mais remboursable en cas de succès.
Quand on regarde les films depuis janvier 2014, pour moi seul un film comme Diplomatie méritait une aide publique.
On pourrait aussi mettre en place une caisse de péréquation, un film à succés comme chez les Tchis aurait dû non seulement rembourser toutes les aides reçues , mais alimenter par son succès financier, la caisse à subventions.