Belle mise en scène :
un pseudo opposant qui prétend avoir été volé,
un président sortant moribon réélu façon Benali,
ce dernier trépassera d’ici peu ou s’auto déclarera inapte à rester aux commandes,
on rendra à César ce qui appartient à César : Benflis le sauveur.
Ou comment faire du neuf avec du vieux, par un petit tour de passe-passe...