Ruth Halimi refuse la main tendue de Dieudonné
8 mai 2014 11:50, par bullit
C’est une femme anéantie par le meurtre de son fils. Elle se fout éperdument de Said comme nous sommes un certain nombre à nous foutre éperdument d’Ilan.
Un minimum d’honnèteté morale devrait lui permettre de réaliser la différence de traitement entre elle (cinéma, promotions radios, interviews, articles de journaux) et Madame Bourarach. Ces gens sont hélas trop nombrilistes.
Ce n’est pas un hasard si elle a accepté d’être justement interviewée par MOF, le juif sioniste du PAF le moins neutre possible dans l’affaire Dieudonné. Elle est en service commandé.
Elle n’a pas saisi l’occasion du pardon mutuel et de la réconciliation. Elle ne mérite aucune compassion. Elle est venue vendre sa détresse et promouvoir son film. Business is business.
Pendant ce temps-là, la France d’en bas peut toujours crever, rattrapée doucement par la France des classes moyennes.