« à que tié beau mon fils » n’avait sûrement de cesse de répéter sa maman, le problème c’est qu’elle était la seule à le voir : je l’imagine intervenir dans l’école de république à chaque fois que, dans les cours de récréation, le petit Richard se faisait embêter par ses vilains camarades antisémites plein de Hhhaiiinnne à son égard, maman volant à son secours pour le remettre immédiatement et toujours plus haut sur son piédestal... Bref un individu sans vergogne, sans grand intérêt qui parle beaucoup trop heu que de lui, de l’ordinaire narcissique que notre société produit malheureusement à profusion...
Pas de quoi perde plus de temps, sachant qu’au regard du dossier qui est présenté de manière synthétique dans cet article, nous voyons déjà ses nombreuses contradictions qui sauront sûrement convaincre le Juge que, finalement, Malka ce n’est pas grand chose pour la communauté humaine.