Chouard et Soral produisent du sens dans un monde qui le perd.
Soral n’hésite pas à s’en prendre à la bête médiatique et aux apparatchiks ; Chouard prend le risque, tout intellectuel certes, de critiquer nos sacro-saintes institutions par une thèse argumentée et documentée, de construire un système de proposer une solution fonctionnant sur un mode consensuel et collaboratif. Que l’on soit d’accord ou pas, a somme toute peu d’importance, le but est atteint, ces deux compères nous font réfléchir. A nous d’assumer la détention de ce savoir que nous construisons en les écoutant,. A nopus de nous auto-critiquer et de construire nos solutions.
Quand bien même, nous pourrions objecter, crier à l’utopie ; combien d’entre nous ont pris de tels risques ? Le révolutionnaire est celui qui se tient sur la barricade pas celui qui commente la bagarre de sa fenêtre. Et Chouard, comme Soral sont sur les pavés.