Comment la France dissimule l’ampleur dramatique de la pédocriminalité
25 juin 2014 18:20, par Alain
J’ai été violé et torturé entre 1977 et 1982. Je suis sorti d’amnésie l’an dernier à 44ans. Le Procureur a défini que la prescription s’appliquait. Le criminel est donc toujours en liberté sans aucune condamnation, libre de poursuivre sa barbarie et son sadisme à 53 ans. Ce pays est une zone de non-droit concernant la pedo-criminalité. Il y a certainement des intérêts chez nos hommes politiques et hommes de Loi à minimiser le nombre et la gravité de ces crimes et à ne pas poursuivre les criminels. Est ce que ces hommes sont compromis dans ces crimes de par leur apparenance communautaire ou religieuse ? Il faudrait un lobby français puissant pour faire changer les peines et poursuites contre ces crimes très graves qui mettent la vie de l’enfant en danger et compromettent sa santé et son avenir