jusqu’où ?
vous savez quand on dérape ça ne s’arrête plus.
C’est le corrolaire de ce ue j’appellerai le principe de zygmunt Bauman, qui a montré que les horreurs nazies étaient en fait la conséquence de l’esprit de la modernité, cette volonté prométhéenne techniciste impavide et amorale de régenter à 100% le réel en ne considérant que des considérations cyniques et techniciennes, "quand elle ne rencontre rien qui l’arrête".
à partir où les freins sautent tout est possible, on l’a bien vu pour reprendre cet exemple en Allemagne, à partir de l’Aktion T4