Petit rappel sur Jean Jaurès à l’attention des socialistes français
21 août 2014 15:39, par ThémistoclèsPour les liens entre la maison Rotschild et le PC : voir les extraits suivants de l’ouvrage de Maurice Pinay "Complot contre l’Eglise".
L’écrivain français Edouard Drumont rapporte que lors de l’incendie de Paris de 1871, les communards incendiaires laissèrent intacts les cent cinquante immeubles qui appartenaient à la famille Rotschild.
"Pour diriger le mouvement révolutionnaire, fut fondé en France le quotidien bien connu L’Humanité. A cet effet une souscription fut ouverte qui réunit la somme de 780.000 francs. Nous citerons les noms des douze donateurs, qui "par hasard" étaient tous juifs : Lévy Bruhl, Lévy Bram, A. Dreyfus, L. Dreyfus, Herr, Léon Picard, Blum, Rouff, Kasevitz, Salomon Reinach et Sachs."
Lorsque la Commune ne put tenir devant l’attaque des troupes du Gouvernement qui siégeait à Versailles et que les communistes virent leur défaite certaine, ils se livrèrent au pillage, à l’assassinat et à l’incendie, afin de détruire la capitale, en accord avec la consigne donnée antérieurement par Clauserets en 1869 : "Ce sera nous ou rien ! " A cette occasion apparut manifeste la complicité des banquiers juifs français avec les communistes, lorsque l’on constate, comme le signale Salluste dans son livre "Les Origines secrètes du Communisme", que Rotschild, d’une part faisait pression à Versailles auprès de Thiers pour que soit évitée toute action décisive de l’armée contre les communistes marxistes, (…) et que d’autre part, il jouissait d’une totale impunité aussi bien de sa personne que de ses biens à Paris, ville alors soumise à un épouvantable et sanglant chaos. A cet égard, dit Salluste dans l’ouvrage cité page 137 : "Mr de Rotschild, c’est certain, avait de bonnes raisons de croire la conciliation possible ; son hôtel de la rue Saint Florentin était protégé jour et nuit par un piquet de Fédérés (marxistes) chargés d’éviter toute déprédation, piquet qui fut renouvelé tous les jours pendant deux mois, jusqu’au moment où la grande barricade qui s’élevait à deux pas de là fut enlevée par la troupe des Versaillais. "Alors que les otages étaient fusillés, que les plus beaux palais de Paris étaient incendiés et que des milliers de Français mouraient du fait de la guerre civile, il est curieux de constater que la protection accordée au grand banquier juif par les communistes ne cessa pas un instant".