La Banque centrale de la Fédération de Russie achète massivement de l’or
16 août 2014 17:28, par saroumaneToutefois, selon les experts interrogés, une banque centrale ne peut pas accumuler l’or dans ses réserves sans limite. Elle ne peut pas tenir une partie significative de ses réserves en or, car ce métal est moins liquide que les actifs libellés en dollars et en euros. Par conséquent, il sera difficile de le vendre rapidement si besoin, sans perte conséquente de sa valeur. D’autant que ces dernières années, le prix de l’or s’est montré très volatil, ce qui pourrait avoir un effet négatif sur l’évaluation du portefeuille global.
Ces experts sont surement ceux n’ont jamais rien compris à rien et jamais rien vu venir.
La Russie, la Chine, et d’autres pays trop longs à citer font dans le pragmatisme économique.
Les USA aussi à leur manière car ils n’ont jamais vendu une seule once pour soutenir leur dollar (ils envoient l’armée à la place) alors que l’angleterre et les pays bas se sont vus commandés de jeter toutes leurs réserves d’or sur le marché boursier tandis que la france n’en aurait officiellement bradé que 600 tonnes sous sarkozy (mais combien sous hollande ? : motus et boule de gomme).
Le Venezuela avait également rapatrié sous chavez toutes ses réserves d’or stockée aux USA (devançant les allemands qui se sont entendus dire : Trop tard !).
Ces pays n’achètent pas de l’or pour spéculer (le prétendre dévoile la nature des experts consultés) mais parce qu’ils savent qu’il sera une garantie de crédibilité monétaire et économique lors de la fin programmée du dollar et de l’euro.
L’orchestration planétaire des pubs "donnez nous votre or, on vous donne de l’argent" qui ont servi à ratisser le maximum d’or physique pour le compte de grandes banques prouve que la fin des monnaies fiduciaires est planifiée et que l’or redeviendra une base étalon dans un avenir assez proche.
En ce sens, l’UE a établi en avril dernier l’obligation douanière de déclaration d’or passant les frontières intra européennes (et non extra européennes) afin de préparer, grâce à cette traçabilité physique intra europe, un futur tour de confiscation à la roosevelt chez tout particulier détenteur d’or.
Le paragraphe cité met en évidence une seule chose : ces journaux financiers aux analyses débiles ne sont que la pravda de Wall street et de la city.
Leurs avis alarmistes sur l’or n’ont qu’un unique but : Permettre à l’orchestre du Titanic boursier de jouer un couplet de plus devant des moutons hypnotisés.