Pourquoi je ne suis pas à la SACEM
9 septembre 2014 15:12, par Jérémie DelageContradiction regrettable : la farouche indépendance commerciale d’Angil n’a d’égale que sa soumission totale à la sous-culture anglo-saxonne de masse, produite, calibrée et imposée, à grand coup de propagande, par cette même idéologie mercantiliste - et coloniale - à laquelle il croit se soustraire...
À quand une musique populaire française revenue aux sources de ses danses traditionnelles (bourrées, gavottes, rondes...), de ses chants traditionnels (ballades poétiques, chroniques sociales...), de son héritage classique (plain chant, Josquin, Attaingnant, Janequin, Lully, Couperin, Rameau, Saint-Saëns, Fauré, Debussy, Koechlin, Duruflé...), et de sa chanson poétique (Brel, Brassens, Ferré, Bertin...) ?
Un tout petit échantillon, pour les Français ayant survécu au rouleau compresseur judéo-américain :
Vexilla Regis
Josquin Desprez - Petite camusette
Lully - Marche pour la cérémonie des Turcs
La chifonnie - La vigne jolie
La bergère - La chanson du spectre
Chanson à danser sur la naissance de Louis XIV
La scottish Le lézard par Cyrille Brotto
Une improvisation sur la valse Indifférence de Tony Murena avec des vrais bouts de Gascon dedans
Léo Ferré chanté par Catherine Sauvage - L’Homme
Léo Ferré chante Beaudelaire - Le serpent qui danse
Henri Gougaud chante les Troubadours - Cercle d’amour
Jacques Barthès - Un dimanche midi
Jacques Bertin chante Baudelaire - L’invitation au voyage
Jacques Bertin chante Giraudoux - La chanson de Tessa
Charles Koechlin - La berceuse phoque
Duruflé - Agnus Dei du Requiem