Il faut commencer par se débarrasser du carcan de cette dictature immonde. Comme Dieudonné le propose, il faut créer un système de vie parallèle avec assurance, banque, écoles, vie associative, stabilité sociale, et finalement un nouvel état, puis détrôner progressivement cette fiante qui annihile tout ce qu’il y a de spirituel dans le coeur de l’homme.
Ses expressions ésotériques et ses fruits pourris sont : Le spiritisme, l’astrologie, la magie, les enchantements, les sorts, la divination, le tarot, les augures, la voyance, les horoscopes, l’écriture automatique, la nécromancie, la nécrophilie, le libertinage, l’homosexualité, la pédophilie, la zoophilie, la magie sexuelle et le satanisme. Toutes ces choses sont une abomination devant la pureté éclatante de Dieu, car "Yahweh, notre Dieu, ne le permet pas !" (Deutéronome 18 : 9-14) et notre "Dieu, est un Dieu jaloux, qui punit l’iniquité des pères sur les enfants" (Exode 20:2-7).
C’est jouer avec le feu que de s’adonner à "ces sports" largement promus par la Théosophie = New Age = Anthroposophie et l’OTO, monstrueux avatars maçonniques, dont le but final est un gouvernement mondial avec une religion unique et Maitreya comme seul maître-penseur et dictateur, et dont la preuve personifée est Annie Besant.
On s’expose ainsi aux maladies, au risque augmenté de dépendance des drogues, à la dépression, au désespoir, à la folie, au suicide, à toutes les pulsions incontrôlables, à l’avortement et à la mort, tant somatique que spirituelle, en ouvrant grande la porte, à satan.
Dieu change en statue de sel, ceux qui par regret osent regarder en arrière quand ils ont commencé à changer de vie (Genèse 19, 15-28).
Les exorcistes, dont le fameux père Amorth vous le confirmeront volontiers.
Le programme a déjà été esquissé par Agustin d’Hippone, sa cité de la Terre est la la franc-maçonnerie :
« Deux amours ont donc bâti deux cités : l’amour de soi jusqu’au mépris de Dieu, la cité de la Terre, l’amour de Dieu jusqu’au mépris de soi, la cité de Dieu. L’une se glorifie en soi, et l’autre dans le Seigneur. L’une demande sa gloire aux hommes, l’autre met sa gloire la plus chère en Dieu, témoin de sa conscience. L’un, dans l’orgueil de sa gloire, marche la tête haute ; l’autre dit à son Dieu : ‘Tu es ma gloire et c’est toi qui élèves ma tête.’
(Saint Augustin, La Cité de Dieu, XIV,28,1)