Olivier Delamarche sur BFM Business
14 octobre 2014 19:00, par SiiR OsELeurs débats sont illusoires, et même Delamarche qui sait où le bas blesse, ne l’évoque pas...
Ce sont "nos" épargnes le problème, et dans d’autres proportions, les grandes épargnes, et les flux d’argent des marchés déconnectés de l’économie réelle.
Pendant que la masse d’argent - issu des dettes de nos États souverains* - se retrouve par Capitalisation, bloquée aux 4 coins de la planète... Elle manque forcément quelque part, puisque adossée à des Crédits à rembourser.
Dès lors, il ne faut pas sortir de Saint-Cyr, pour comprendre que la monnaie - par la mondialisation et le capitalisme-ultra - se verra "confisqué" au damne de la populace.
*Il faut imaginer un sablier géant, quand le sable est en bas, tout l’argent est disponible sans grandes "rétentions".
Dès que vous le retournez, imaginez cette fuite du sable vers le bas, comme une Capitalisation lente, mais qui à terme, "asphyxie" le haut.
Après plusieurs cycles, remboursement/nouveaux crédits, soumis à de nouveaux intérêts... Il devient plus clair que l’argent-dette imposé par les banques est une forme d’esclavagisme, une manière de drainer les ressources réelle en prêtant de l’argent que l’on ne possède pas. Par une habile écriture de livres de comptes et une possibilité de réserve fractionnelle.
Et ainsi font font font ..... Les petits banquiers, depuis la banque d’Angleterre...
Ils leur a suffit d’inventer la réserve fractionnelle, et de l’accroitre avec le temps, pour lever toujours plus d’Intérêts sur la création à partir de "rien". (qui ne veut pas dire adossé à rien, ne pas se méprendre)
O.D le sait très bien... J’en suis sur.
H.Ford disait déjà : « Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. »