Vifs échanges sur le rôle de la Turquie au Proche-Orient lors du colloque sur l’Irak
16 octobre 2014 19:16, par Pascal
Dossier indéfendable, c’est pas nouveau. Et je reste très inquiet pour Bachar al Assad et la Syrie qui se retrouve de plus en plus isolé. La Russie ne semble plus avoir les moyens et/ou les intérêts stratégiques pour intervenir. Et l’Iran a amorcé un rapprochement avec l’OccidentUS qui pourrait compliquer l’appui sur le terrain au gouvernement Syrien.