Les justiciables face au service public de la justice
6 janvier 2015 14:47, par Marde
Franchement, il n’est pas nécessaire de lire le rapport pour le savoir, il suffit d’être ""un pauvre con de citoyen Français."""
Au mois de juin 2014 j’ai adressé au procureur de la république de la ville de XXXX une lettre détaillée de six pages format A4, dactylographiée pour la lisibilité, dans la langue de Molière, sans faute d’orthographe ni barbarisme grammatical, avec les formes de politesse qu’exigent leurs z’excellences de la ripoublique quand on s’adresse à leurs personnes. Une lettre pour dénoncer la méthode utilisée et le but d’une mise en danger délibérée de la personne d’autrui ayant entraîné la mort et relevant de l’article 121-3 du code pénal, et posant la question de l’ouverture d’une information.
Classé sans suite poubelle !
J’ai pensé écrire au procureur général, puis je me suis dit que si le premier n’assurait pas ce pour quoi nous le payons, pourquoi le second le ferait_il ?
Le citoyen est occis en toute tranquillité dans la plus stricte intimité C’est la nouvelle éthique en matière criminelle et sa réponse pénale. Personne n’y trouve à redire, pas même le parquet ! Les pervers peuvent dormir sur leurs deux oreilles.