Il serait intéressant de connaître le point de vue d’un certain capitaine de frégate qui officie aussi au pays de la quenelle...
Du Paquebot au Radeau de la Méduse, il n’y a qu’un pas -un bras de mer houleux- que la Marine semble vouloir franchir allègrement !
Que reste-t-il, non pas de nos amours, mais de ces gars qui, "du plus petit jusqu’au plus grand, du moussaillon au commandant" incarnaient au début l’espoir national ? Un pâle ersatz de Jehanne, un succédané de Cauchon pas très franco de port lui non plus ?
Le Généralissime n’aurait-il pas mieux été inspiré de se choisir un fils ?