"Je me sens Charlie Coulibaly" : Dieudonné s’explique
23 janvier 2015 20:47, par JeanMichel ChantepasJe viens de m’apercevoir qu’on peut répondre sans s’inscrire ! Je suis assez persuadé qu’on va aller dans le mur et que le mur fonce sur nous, et c’est pour ça que je viens faire de la dissidence en venant consulter quelques pages web sur ce site (un peu fan de Dieudo et Soral, mais pour le fric les gars ça sera d’abord mes gosses, en référence aux opérations financières des deux protagonistes ci-dessus).
Mais les commentaires sont parfois pas rassurant. Je méprise le système et les médias comme beaucoup ici et j’adhère à pratiquement tout le discours tenu sur le site. Mais en ce moment quelque chose me dérange. Comme le mouvement politique vient d’être lancé, je sens de la récupération tous azimuts (digne d’une récupération politique de tous bords de la 5è république). Récupération des croyants en général et des musulmans en particulier. Récupération des catholiques en général et des royalistes en particulier etc.
Ce qui m’agace un petit peu car on remet encore et encore la religion au centre du débat. Mais le débat actuel et surtout le débat qui devrait être alimenté ici c’est du Boulot, une Souveraineté Nationale et des Frontières. On arrête à la douane tous les smartphones à 600€ fabriqués par des esclaves à l’autre bout de la planète et on les fabrique nous même. Ils couteront chers mais au lieu d’en avoir un nouveau toutes les 3 semaines on en aura un tout les 6 mois. Oublions les livres religieux écrits il y a plus de 1500 ans dans le débat publique, laissons ça chez nous de manière libre et en conscience.
Par exemple, Marion Sigaut et ses royalistes catholiques me font gerber. L’interprétation de Dieudo sur le prophète avec une tête en forme de bite me fait gerber, perso je n’ai pas vu ça. N’oublie pas Dieudo que la France est plus vieille que le prophète. (Clovis baptisé en 498 et Mohamed est né en 570).
Bref je mélange un peu par l’énervement mais arrêtez avec la religion s’il vous plaît, ça me donne envie d’en respecter aucune autrement.