Alain de Benoist : "L’école d’aujourd’hui tue sur place les enfants de pauvres !"
28 janvier 2015 15:35, par anony
Tout est dit, et brillament, même.
Ayant grandi dans le courant des années 80, un peu par hasard dans une ville huppée, j’étais au croisement de diverses influences, mais l’école marquait encore une influence importante, indépendemment des "modes" et du contexte éxterieur. ; ......j’ai donc eu cette chance.
Par la suite, mon évolution dans un lycée plus difficile m’a isolé à un point ou en tant que français de souche, j’ai du partir pour ne pas sombrer (n’ai pas subit du racisme anti-blanc, mais y régnait un communautarisme très agressif qd même) ;avant 2001, l’islam n’était pas trop à la mode, c’était encore "scarface-shit-kebab".... ; j’ai fait ce qu’a décrit zemmour quand les classes moyennes "souches" quittent les banlieues, et je suis parti ailleurs.....
La catastrophe actuelle, dûe aux facteurs bien évoqués, remet à la mode la ligne" brighelli-chevènementiste" ; seulement, cela fait 30 ans qu’on a donné le pouvoir à des quasi-fanatiques (peillon, meirieu...) on recomprend enfin que l’école doit former des individus par l’instruction, et pas les "ouvrir au monde" (notion libérale)...... mais peut-on redresser la barre ?