Quand réseaux et cooptation priment sur le talent : l’exemple de Top Chef
27 avril 2015 10:31, par Mich
J’ai suivi régulièrement l’émission (je précise qu’en dehors de ça et de quelques matchs de sport je ne regarde jamais la télé) j’étais certain que c’était le petit commis qui allait gagner. Pas forcément au niveau des relations, mais de question de buzz et d’audimat. Il s’agissait de ’faire pleurer dans les chaumières’. C’est flagrant d’une dans l’épisode avec le candidat Olivier, mais aussi à la finale, où c’est l’autre candidat qui a obtenu les meilleures notes de la part des chefs. Il fallait un scénario type ’volte-face’ à la finale, pour générer un buzz. Et apparemment ça a marché.