Quand réseaux et cooptation priment sur le talent : l’exemple de Top Chef
27 avril 2015 19:49, par anony
N’oublions pas l’étouffoir terrible de la maçonnerie, qui gangrène littéralement le milieu des "étoilés"....
Lire aussi l’article sur le net de pinay-rabaroust, ou ces grands chefs, entre réseaux "perso" et voyages glamours autour du monde, délèguent à un second tyrannique et ne font plus rien dans leur cuisine, ou le bizutage semble devenir la règle....seul thierry Marx, ou des chefs comme les Bras père et fils (plus les inconnus !), semblent garder la tête froide par rapport à ce management odieux (cf.l’affaire Alléno).
D’après f.Simon, (dont l’émission sur paris première, atypique et marrante était bien mieux que l’horrible version tête à claques et boboisante de f.r Gaudry), le début de la fin arriva quand les journalistes firent croire aux cuisiniers qu’ils étaient plus artistes qu’artisans....
La cerise sur le gâteau est la mode de la cuisine "fusion" et autre joyeusetés moléculaires sans âme...quand on pense qu’on a mille fois plus de plaisir à manger une croûte savoyarde dans un refuge que de s’endetter tristement chez frederic Anton ! revenons aux basiques ; comme le disait fernand Point : "il faut des années de pratique avant qu’une simple sauce béarnaise soit parfaite !....."