Farida Belghoul : histoire d’une imposture
6 mai 2015 12:42, par DarkCrakinet’Vu ce que je vois de Farida Belghoul c’est pathologique ! On appelle cela la perversion narcissique.
C’est un trouble psychiatrique (proche des sociopathies) qui passe par :
L’utilisation des liens familiaux, professionnels, amoureux et amicaux pour assujettir l’autre.
Pas d’empathie, donc pas de culpabilité (il utilise celle des autres)
Ses valeurs, sentiments voir son comportement, change en fonction des gens et du contexte.
Plus il dévalorise sa ou ses victimes, plus il se sent fort (une sorte de consommation de l’autre)
Il est le roi du : "faites ce que je dis et pas ce que je fais"
Lorsqu’il est en difficulté, c’est à dire, lorsqu’on le met devant ces contradictions, que le masque commence à se fissurer, il retourne l’argument contre son accusateur. En gros, il retourne sa propre faute sur autrui, pour ne pas endosser la responsabilité de ses erreurs.
La création de relations exclusives pour que l’influence qu’il ait mis en place reste ; ainsi sa victime n’est plus en position juger, elle vit dans une bulle entièrement créée par le pervers.
Cette bulle crée un isolement et la victime n’ayant plus la possibilité de comparer, de par sa réclusion "volontaire", se voit dans une position où elle n’est plus capable d’avoir le recul nécessaire, pour juger de la situation ; elle se trouve ainsi, obligée d’adhérer à ce que lui ordonne, le pervers.
Cela passe par un matraquage d’idées sans arguments réels, des demandes contradictoires, des passages tantôt violent tantôt charmant.
Généralement, ce que le pervers dénonce le plus, sont les choses qui le concerne. Par exemple : les pédocriminels qui dénoncent les abus sexuel fait aux enfants.
et j’en passe bien d’autres...
La perversion narcissique semble être la panache de beaucoup de nos politiciens, des criminels sexuels, de l’organisation institutionnelle, de la propagande pro-sioniste et gouvernementale.
Lorsque l’on regarde attentivement la télévision, on peut facilement voir apparaitre ces schémas. Notamment en regardant comment se déroule l’assemblé, les discours de nos politiques et leurs attitudes. Même plus récemment, sur le deux poids, deux mesures de Charly Hebdo par rapport à la dissidence pour ne pas dire Alain Soral et Dieudonné.
Il y en a tellement qui transpire, que je pourrais même en faire une chronique journalière !
DarkCrakinet’