Rappel : l’immigration est liée aux choix géostratégiques de l’Occident
8 mai 2015 15:17, par François DesvignesL’immigration de masse a commencé avec la loi Simone Veil sur l’avortement.
Elle en a suivi les développements à l’unité près, un bébé avorté = un immigré, 200 000 avortements annuels = 200 000 immigrés annuels.
Il s’agit d’un génocide ethnique mené sur 40 ans et puisqu’il n’ a JAMAIS baissé mais est resté constant à ce rythme....toutes les statistiques "sur-le-nombre-d’-immigrés-en-France" sont tout simplement fantaisistes ou 200 000 x 40 ne font pas 8 000 000 auxquels nous pouvons évidemment rajouter leurs enfants soit 16 000 000, les parents immigrés, eux, n’avortant pas.
A partir de là, il y a un constat et deux réponses possible :
le constat c’est que les guerres de Lybie et plus généralement les politiques de désatabilisation d el’Afrique aggravent certainement l’immigration de masse mais l’aggravent seulement l’immigration de masse leur étant antérieure dans son existence, son rythme et ses volumes.
les deux réponses possibles, quant à elles, se rejoignent :
la nationale laïque soutient que l’intérêt supérieur de la nation résidant dans sa perennité, le droit à l’avortement trouve normalement sa limite dans la reproduction générationnelle de la population et de ce point de vue, l’immigration n’est JAMAIS une réponse adequat puisqu’en fait d’empêcher l’extinction du groupe national, elle l’accèlère par sa dilution.
la nationale catholique soutient que l’immigration de masse n’avait pas besoin d’être préméditée et organisée pour exister, même si elle a été préméditée et organisée, dès lors qu’elle est la conséquence nécessaire de la loi sur l’avortement puisqu’empiriquement un bébé avorté a toujours correspondu à un immigré implanté. En somme, nous payons par où nous avons péché, un crime commis se soldant par un immigré invasif.
Quoi qu’il en soit, maintenant que va-t-il se passer ?
Il va se passer ce qui s’est toujours passé à Rome : Rome va massacrer Spartacus
A cause d’une raison mécanique : tout afflux d’étrangers à Rome qui ne se convertit pas à Rome devient l’ennemi juré de Rome comme portant atteinte par son refus ou son incapacité à l’unité IDENTITAIRE de l’Empire.
Or le NOMBRE est par lui-même un empêchement dirimant à la conversion : même si Rome le voulait et les immigrés avec elle, à cause du nombre, leur conversion à la Pax Romana restera impossible.