Les syndicats, auxiliaires du pouvoir
27 mai 2015 20:18, par Jacques AbelPas un seul candidat à une élection dans notre pays ne fait mention avant le déroulé du scrutin devant les électeurs de défendre la cause des intérêts juifs ou israéliens.
Quiconque serait détenteur d’un mandat et se manifesterait par sa parole ou ses actes dans une défense active de l’entité qui se définit elle-même comme État juif, ou de la diaspora liée d’une façon ou une autre à cette entité, ne saurait se prévaloir du soutient national, régional ou local, que de manière fallacieuse et forcée de celui-ci !
Car, la population française n’a jamais eu à se déterminer de manière claire et non équivoque quant à ce sujet !
Il y a par conséquent une contrainte sur l’opinion française, que réprime l’Art. 211-1 du CP.
Pris dans ce sens, ce ne sont pas les libertés d’expression, d’opinion, de penser et d’agir qui sont menacées par le fait, mais, celle de notre existence au travers de sa cohésion en tant que peuple souverain !
Il devrait donc s’en déduire de bien considérer en son juste rapport au sein de notre opinion nationale et d’y identifier tout ce qui participe à ce génocide intellectuel. C’est une responsabilité collective qui s’impose à chacune des composantes de notre société civile nationale, afin d’en préserver les droits et idéaux autant que pour pérenniser son avenir.
Le tapage systématique contre un artiste, aux plus hauts niveaux des institutions et dans toutes les formes de représentation nationale, ressemble à s’y méprendre à un plan concerté en application dont la gageure prétendrait d’un mieux vivre pour tous.
Rien, n’est plus faux, puisqu’il s’y implique l’intérêt national au travers de l’unité psychique quant aux valeurs culturelles qui façonnent notre peuple.