Pour le CRIF, la politique étrangère française n’est pas assez sioniste
29 mai 2015 16:20, par MivillePersonne ne vous a appris à l’école que la République française est la fille aînée d’Israël, tout comme feu la France des Rois fut la fille aînée de l’Église ? Vraiment, ce n’est pas une vaine rumeur que l’enseignement procuré par l’école républicaine française, autrefois le meilleur du monde, n’est plus du tout, du tout ce qu’il était. Surtout au niveau de l’histoire et de l’instruction civique.
Maintenant un bachelier en sait davantage sur l’histoire des hobbits que sur celle de nos maîtres-penseurs les juifs. On a laissé de côté le latin et les textes fascistes romains, ce qui en soit était une bonne initiative, mais c’était sous la promesse formelle de s’imposer l’hébreu et les textes talmudiques en tant que nouvelle discipline de l’esprit, promesse qui n’a pas été tenue, tant de mai 68 on n’a voulu retenir que l’aspect récréatif sans rien apprendre de la spiritualité des animateurs. Pas étonnant que l’analphabétisme soit en telle hausse, conséquence première immédiate du mépris de plus en plus éhonté du Peuple du Livre, des inventeurs de l’alphabet même.
Quelle insulte à tout ce sang versé par des générations de soldats français pour défendre ce petit peuple persécuté par tant de peuples voisins barbares, pour le sortir de ses ghettos et lui donner une tribune littéraire mondiale digne de ce nom, tous ces espoirs mis par tant de gens comme vous et moi en un monde futur meilleur sous la houlette d’Israël, qui ont motivé l’essentiel de notre vie littéraire et de notre production artistique, tous ces Hugo, tous ces Zola, tous ces Michelet, tous ces Jacques Prévert qui ne cessèrent d’enhardir la foi du peuple du gauche face aux attaques incessantes des régressifs, tout ce feu sacré entretenu chez tant de poètes.
À voir les jeunes français d’aujourd’hui courir aux grimaces et aux éructations d’un barbare semi-simiesque comme Dieudonné, qui en un autre temps pas lointain aurait figuré dans le zoo humain d’une exposition coloniale ou dans un asile opéré par Freud, on mesure la pente descendue depuis la convocation par Napoléon premier du Grand Consistoire depuis la condamnation du prophète de l’Obscurantisme médiéval et la grande Shoah de ces féroces Romains que cet imprécateur appela sur la ville. Nous voilà revenus au bas-empire de l’ultime décadence où les juifs de culture voient leurs oeuvres philosophiques invendues, et n’ont plus pour gagner leur vie que l’écriture de scénarios de films porno. Snif, snif, snif !