La Russie veut enquêter sur la réalité des missions lunaires des États-Unis
21 juin 2015 17:55, par Sherlock(suite)
Le plus grand écart de logique de la part des croyants consiste à mentionner les miroirs installés sur la lune, permettant de mesurer sa distance à la terre au moyen de rayons laser. Qu’est-ce qui nous permet d’affirmer que ces miroirs ont été placés sur la lune par la main de l’homme ? Quelle preuve avons-nous d’une telle supposition ? Une mission robotisée n’aurait-elle pas suffi à cette tâche ?
Passons enfin au détail le plus facilement vérifiable. Il n’est pas nécessaire de posséder un diplôme d’ingénieur pour se rendre compte que la porte d’accès au module lunaire, exposé au musée Smithsonian, ne permet pas à un astronaute muni de l’énorme sac à dos visible sur les photos d’y entrer ou d’en sortir. N’importe quel déménageur vous dira, au premier coup d’oeil, que ça ne passe pas. Or quand la question est posée au directeur du musée de vérifier cet argument ou de fournir des mesures permettant de s’en assurer, il refuse tout net sans fournir la moindre explication. Ben, ben pourquoi ?
En conclusion, le débat sur les anomalies photographiques peut être considéré comme un gigantesque écran de fumée, derrière lequel se cachent des questions bien plus intéressantes, auxquelles il est difficile de répondre. Et pourtant on serait plus clairement fixé, non ?
C’est un peu comme le débat sur le 11 septembre entre défenseurs de la version officielle et chercheurs de la vérité. Les uns affirment qu’ils ont vu des avions, les autres qu’il s’agit d’un montage vidéo, mais personne ne se pose la question de savoir pourquoi les explosions des deux tours présentaient toutes les caractéristiques d’explosions nucléaires et pourquoi des sauveteurs souffrent actuellement des effets de la radioactivité.
Quand on se mettra à poser les bonnes questions, on en saura un peu plus au sujet de ces deux énigmes.