Regard sur le survivalisme
7 juillet 2015 08:14, par Denis Jaisson
« Le cafard survit parce qu’il va dans la direction opposée au vent qui lui signale l’approche d’un prédateur », écrit Simone… Autrement dit, le cafard marche vers son prédateur, comme la bourgeoisie française vers Wall Street, la City, Francfort ou Berlin, la Commission européenne et la BCE, l’oncle Sam et l’OTAN, Israël et le CRIF ; en bref, en remontant les trottoirs de tous les tapins de la prédation qui n’a même plus besoin de se déplacer, comme Lénine l’avait prédit.