Le mode de vie hippie a été tourné en dérision car il s’attaquait, dans une inspiration purement chrétienne, aux bases de la société bourgeoise matérialiste.
Aucun hippie, physiquement ou mentalement, n’a résisté plus de quelques mois aux injonctions de son "mouvement" : retour à la terre, amour libre, options politiques hystériques etc. Le hippie est toujours devenu très rapidement un monstre dégénéré, boursouflé d’orgueil, d’addictions diverses et de conneries variées.
Ces premiers lecteurs de Charlie-Hebdo, donneurs de leçons sans pareils, ont ensuite connu tous les affaissements de la dépravation. Alcoolisme carabiné, stupéfactions haschischines, drogues dures, prostitutions, idiotisme aggravé. La plupart ne pouvant absolument pas tenir les difficultés de ce "mode de vie" sont rentrés, complètement tarés, dans le rang, continuant petitement mais tout le temps à dégrader tout ce qu’ils touchaient.
Leur inspiration chrétienne ? Celle des Jesus Freaks, genre Georges Harrison ? Ces connards habillés avec des torchons de lin blanc ? C’est une plaisanterie qui nous a donné le "New Age" !
Un vieux dicton conseille de ne jamais faire confiance à un hippie. Il est toujours d’actualité.