Le CRIF a déclenché une violente campagne de persécutions contre les dissidents
7 août 2015 18:03, par Jacques AbelIl est temps de ramener la multiplicité à l’unité, temps de définir, de concevoir pour réformer afin de reconstruire.
Nous subsumons avec le concept juif, c’est une erreur !
Il n’existe pas de définition ni de compréhension dans l’idée générale que forme le mot juif, ça ne veut rien dire et tout dire à la foi, pourquoi, parce que la définition du terme lui-même n’offre pas d’entente commune en ceux qui revendiquent leur référence au concept ; si l’on considère la définition du terme concept, le mot juif lui-même.
Alors, qu’à l’inverse il est observable que chez monsieur et madame tout le monde quand on fait référence à la judéité de quelqu’un ce n’est pas pour sa religiosité que la personne se définit dans l’esprit. Il se peut dire dans cette réflexion là, que le judaïsme n’est donc plus religion depuis belle lurette.
Qui connaît la tradition juive à quelle historique fait-elle sens dans nos esprits ?
La tradition, selon comme nous la définissons est la transmission orale ou écrite de récits vrais ou faux, faite de bouche en bouche pendant un long espace de temps, une manière de livrer l’histoire entre les générations. Soit, mais alors, les générations mondiales actuelles méconnaissent ce qu’est cette tradition, puisqu’elles n’entendent parler que de la tragédie qui a concerné une portion des juifs durant une période de l’histoire. Nous succombons sous un poème dramatique et rien d’autre, rien de tout cela n’a de correspondance réelle avec l’idée que nous partageons communément de ce que sont les droits humains.
Foutaises sémantiques et brutalité institutionnelles instaurées par un lobbysme appuyé sur la servilité et la corruptibilité de quelques-uns, voilà là tout ce que l’on me dit invincible, moi, je ne le crois pas !
La même approche intellectuelle peut être faite quant à cette pseudo arme atomique qu’est l’antisémitisme, c’est un concept discursif de papier si on veut le rapprocher d’un entendement collectif.
Tout ça n’est que foutaises ! Si nous voulons battre en brèche cette sclérose mentale qui n’a pour seul objectif que de faire figurer un indicible dans notre monde nous pouvons le faire, mais avec d’autres attendus.
En avril 2013, lors la visite de Shimon Péres il ne fallait pas de noirs et d’arabes dans son environnement, en 2015, c’est pas de femme pour le roi d’Arabie… quand parlerons-nous de l’assimilabilté des valeurs de ces gens avec les nôtres, je dis ces gens parce qu’ils ne forment pas un ensemble dans mon esprit.