Comme l’enfant, le nègre de barcasse et le syrien chrétien (pas l’alaouite évidemment) sont des « être immatures, non développés » et ont donc droit « naturel » à la têtée.
Ainsi devons nous biberonner les 500000 hommes-bébés (sur 4 millions de réfugiés) qui fuient les 30000 djihadistes (vrais hommes-soldats). C’est notre devoir de race supérieure, celle des grands blancs terreur de l’Histoire. Nous ne pouvons demander à ces êtres par encore formés d’avoir une éthique, de se battre contre le dictateur où le barbu. Ils ne sont que de la viande tendre destinée à Capital, des nano-sapiens à gaver car ils n’ont pas encore les capacités de se défendre.
Le rite de passage des immatures venus en barcasses sera donc un premier allaitement donné par les bobobonnes d’ONGs, ce qui flatte beaucoup l’ego des branleuses prébendières droitdelhommistes (qui n’ont pas d’enfant comme toute société décadente).
Refuser les hommes-enfants des barcasses, serait pour les tortilleuses de culs devant caméras, avorter une seconde fois !
"J’ai tous les hommes qu’il me faut car ils vont tous mourir !" Léonidas