Persécutions d’Alain Soral : suite
15 septembre 2015 02:51, par FrédérickVoici le commentaire que je souhaitais laisser à la dernière vidéo de maître Viguier, il est en parfaite continuité, je crois, avec cette intervention. Ceci le rend donc à mes yeux légitime ici :
Connaître l’ennemi : on a donner l’ordre à Valls d’abattre Soral, cela me paraît assez clair. Valls représente le "jeune cadre qui monte" et il doit démontrer son efficacité pour tirer le gros lot : la présidence.
Ce qui m’amène au second point : nous sommes face à un système profondément technocratique. La technocratie est d’ailleurs très fonctionnelle mais son point faible est de ne pas comprendre qu’elle n’est pas parfaite. Sa vision de l’arme juridique -et même du combat en général- se concentre sur le calcul de la prévisibilité et là est son talon d’Achilles. Elle est incapable de comprendre qu’elle ne sait pas tout calculer : l’imprévisibilté.
Pour conclure, j’exposerai mon troisième point : la dissidence a réuni de brillants esprits analytiques. La capacité de ces personnages a été mise au service de la réinformation, ceux-ci l’on fait avec beaucoup de talent et ils nous ont offert des connaissances et une compréhension qui n’auraient pas pu être à notre portée d’une autre manière.
Ces esprits qui ont excellé chacun dans son propre champ d’expertise, devraient peut-être maintenant considérer la nécessité d’unir leurs dons particuliers pour passer à l’attaque. Laisser de côté "l’académique" pour penser en équipe des stratégies pour combattre et terrasser "la Bête".
Pourquoi ?
Tout simplement parce que si Soral tombe, ils tomberont ensuite, un par un, isolés et vulnérables.
Je ne parle pas de la partie juridique -bien qu’il s’agira d’un axe central de la lutte, je repense à la cour européenne- car je constate que cet aspect se trouve entre de bonnes mains. Je parle littéralement d’envisager d’être pro-actif, de planifier une contre-attaque face au harcèlement qui finira par tacler chaque résistant qui s’est fait visible pour qu’ils servent tous d’exemple.
Je résume donc :
Le chef des opérations du camp adverse : Valls.
Le mode de pensée de l’ennemi : technocratique (statistiques, diviser pour régner, théorie des jeux, etc...).
La riposte : une alliance réfléchie des intellects de ceux qui finiront par être victimes s’ils n’adoptent pas une stratégie de travail d’équipe.
Merci maître de saluer le modeste effort que nous autres commentateurs essayons d’apporter.