Le scandale Wolks c’est un crash Allemand au même impact que celui de Lubitz, tous les deux victimes de la violence de l’ultra libéralisme poussant les individus à l’outrance sous le joug de la concurrence effrénée, représenté respectivement par deux compromissions distinctes par nature mais complémentaires, la première pour contourner une barrière protectionniste détournée (une norme pollution plus drastique que les normes Européennes), la deuxième pour ne pas chuter de niveau de vie et surtout pour ne pas lâcher son rêve.
Deux destins brisés, deux drames humains, avec des dommages collatéraux colossaux, financiers pour le constructeur, humains pour les victimes de la Germanwings.
“Jamais la violence, l’inégalité, l’exclusion, la famine, et donc l’oppression économique n’ont affecté autant d’êtres humains dans l’histoire de la terre et de l’humanité.”
Derrida ne peut pas être plus contemporain.