J’ai adoré l’anecdote de la 16, Chichi-le-toxico à la blanche dans toute sa splendeur !
Pour le reste, De Villiers ne fait que confirmer ce qui est formalisé par la dissidence, des politiques oeuvrant pour la ploutocratie elle même inféodée aux 1% oligarchique dans un programme de manipulation globale des foules visant la déstructuration sociétale, afin principalement de faciliter la déterritorialisation (pas au sens Deleuzien du terme) mais plus dans le sens de la fracture systématique de l’idée d’appartenance à un territoire, afin de permettre l’emballement capitalistique pour que l’oligarchie continue de posséder près de la moitié des richesses mondiales.
Les organismes de sondages étant ce que je nomme les agents nationaux au service des états incarnant la politique et la nation, on comprend bien alors que le peuple est de plus en plus spoilé et pat voie de conséquence, ce qui faisait la grandeur de la France.
De Villiers a tout mon respect, non pas pour la promotion qu’il effectue de son bouquin, mais bien parce qu’il a voté non à Maastricht et qu’il a soutenu sans faillir cette idée, quitte à passer trop souvent pour un facho totalement ridicule via le prisme des médias aux ordres et chargés de le flinguer.