Arrêtons de se lamenter. L’austérité est un des quatre piliers majeurs dans le support du but ultime de la vie humaine. L’accepter c’est déjouer le plan des larbins du Malin qui "veulent" que le peuple continue à batailler pour conserver ses "droits" non pas acquis à la force du poignet mais concédés par les fausses élites comme des petits morceaux de carottes.
Le peuple veut conserver, tel une poignée de sable lui filant entre les doigts, toutes ses aspirations aux plaisirs immédiats et temporaires au prix fort. Payez donc en le prix : gagner son pain à la sueur de son front, s’épuiser , se faire entuber par le salaire de la peur, la peur de le perdre ou de le voir fondre comme neige au soleil, puis attendre stupidement la mort qui tout dévore.
Si le peuple, par un sursaut de bon sens, abandonne toute velléité de jouissance, les boutiquiers qui lui servent de geôliers, les administrateurs de tout poil, clients de ces boutiquiers seront contraint par la force des fonctions mathématiques à suivre la courbe, se serrer la ceinture ou bien succomber de mort lente au saturnisme de cette pseudo civilisation tel un Romain avinée du vin de son impudicité puisé dans la coupe de plomb de la consommation et de la fornication effrénées.
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Vaines , leurs aspirations à la jouissance , au savoir, au résultat de leurs actes intéressés. Ils ne chérissent que des buts démoniaques et athées qui visent à détruire le monde et se réfugient dans l’illusion de la nature éphémère pour la célébrer en un néo-culte dionysiaque, à la façon de Jack Lang , l’iguane béate ou Attali, la hyène ricanante.
Le peuple n’a que ce qu’il mérite. Ayant négligé ses devoirs les plus élémentaires, le voici paissant sous la verge de fer d’avides lobbies ,eux même tenus en laisse par le témoignage de leurs actes sordides et cannibalesques. Lorsque ce peuple aura compris qu’il a appelé de ses vœux ces tourments infligés par d’habiles mais vulnérables mécréants, il se détournera enfin des chimères que ces gens du Spectacle lui représentent chaque jour comme son pain quotidien.