Votre couverture du FIGARO, j’ai d’abord cru un NEWLOOK.
Article sur les requins, bouts de nichons, "scandale" aux fraises, racolage avec de "l’extrême"...
26 octobre 1985...
Y’avait pas un disque de RAP chez les disquaires, l’âge d’or arrive 10 ans après, et depuis, c’est bien fini...
Alors, quoi, un plan d’ensemble ?
N’est-ce pas accorder trop de crédit à de l’irresponsabilité ?
C’est de l’irresponsabilité capricieuse mise en vedette, mais la vie continue.
1985 : à l’époque, Kader n’a pas encore réussit son premier braquage, et les années de taule qu’il effectue n’existent donc pas.
Y’a un vertige, à se balader dans les vestiges du passé.
Certains l’instrumentalisent.... passé raturé, passé prostitué.
"Passé" qui n’existe plus.
Et ne peut plus emmerder le présent qu’à travers le mensonge.
Qui a besoin de mensonge, pour "vivre" ?
Peut-on bâtir l’avenir sur du mensonge ?
L’avenir, le futur, est-il construit de mensonges inexistants dans le passé ?
Tata Pierrette a-t-elle gardé l’uniforme nazi de son amant, dans le placard ?
Lui a-t-elle révélé sa judaïté ?
Les hémorroïdes ont-elles une âme ?
Et si c’est un garçon, on l’appelle comment ?
Au final, le crime ne profite jamais.
Sur du court terme, je veux bien, mais sinon ?