Le Grand-Saint-Antoine et la peste dans Marseille
12 décembre 2015 11:13, par spirit
Si j’ai bien suivi...les échevins ou partie d’entres eux,ont fait passer leurs intérêts privées avant l’intérêt général puis,le remord aidant,se sont battus contre le fléau jusqu’à la mort....un sentiment chrétien assez répandu,alors.. !!
Marseille était devenu un champ de bataille comme Dien bien phu,bien plus tard,où l’héroïsme du plus grand nombre le disputait à la veulerie de certains (les volontaires passant la barrière pour aider m’ont fait penser à ces paras sautant en plein combat pour l’honneur quand d’autres se planquaient dans des trous)
Le chevalier de Roze a trouvé l’amour pour récompense....il en a tant donné....les honneurs ne recompense que ceux qui en manquent...il n’en avait pas besoin !
Les prélats de cette époque étaient vraiment de la même valeur que les maréchaux de Napoléon plus tard....Monseigneur de Belzunce était l’un d’eux... !!