Pauvreté de l’argumentaire syndical face au rouleau compresseur libéral
24 janvier 2016 14:16, par Libre de penser ce que je veux
Ce qui est éloquent dans cette séquence, c’est sa notion de la “représentation démocratique” ; en substance, le micron avoue "vous avez élu un président au suffrage universel ; en tant que représentant du peuple, il a mandat d’agir comme bon lui semble puisque élu au suffrage universel" donc comme le candidat président n’a eu le temps de tout dire pendant sa campagne, il applique un programme dissimulé "le non-dit" puisque les électeurs l’ont élu.
Quel aveu extraordinaire pour un ex-banquier mangeant à tous les râteliers : ni PS (n’a pas sa carte) ni de droite mais foncièrement mondialiste, ça c’est, ipso facto, la vérité. Voilà ce qui transpire de son hallucinante prestation. Il faut se pincer vraiment pour savoir si l’on a bien compris ce que l’on a entendu. Cela vaut son pesant d’or.