Un médecin dénonce l’imposture des "études" sur les enfants de couples gays
28 janvier 2016 17:32, par ErdovalLa reconnaissance juridique d’une parenté homosexuelle (une fiction évidente) entraîne la modification profonde de la nature de l’être humain dans nos sociétés occidentales. L’histoire biologique de l’enfant est gommée. Ayant deux parents du même sexe, l’enfant peut très bien n’avoir alors ni père ni mère biologiques qui le relient à une histoire dont il est le prolongement. Il devient un bien détenu par deux personnes du même sexe auxquels la loi reconnaît les mêmes droits qu’à des parents biologiques, sans se préoccuper le moins du monde des conséquences de cette situation ni sur le psychisme de l’enfant ni sur l’avenir de la société elle-même. L’enfant est conçu comme un bien commun résultant d’un désir partagé pour parfaire une histoire entre deux êtres sur le modèle de certains richissimes déviants qui ont les moyens de satisfaire tous leurs désirs, au besoin en s’offrant une descendance factice.
L’avoir prime sur l’être ; la famille n’est plus le cadre élargi aux générations passées de transmission de la vie et de valeurs partagées ; elle est remplacée par le couple, la famille nucléaire hors sol, lieu d’épanouissement par la consommation dans un monde entièrement marchandisé.
Mais sans passé, pas d’avenir. Autrement dit n’assistons nous pas au suicide de nos sociétés occidentales qui semblent avoir bien décidé de faire fi de leurs fondements humains, et donc de disparaître. C’est sous cet éclairage qu’il faut peut-être voir les agressions sexuelles de la Saint Sylvestre en Allemagne. La fondation d’une nouvelle civilisation par un nouvel enlèvement de Sabines serait-elle en préparation ? La conquête brutale des ventres des femmes occidentales devenant alors une stratégie de conquête par la descendance.
Féministes et LGBT vont avoir du boulot pour défendre leurs culs ; quant à l’avenir des mecs (le terme a définitivement remplacé celui de mâles) leur avenir paraît bien compromis s’ils ne sont pas décidés à défendre âprement leur peau. Mais n’est-il pas déjà beaucoup trop tard ? En tout cas on n’entrevoit encore de la part de nos élites aucun signe de véritable résistance à l’envahissement. Au contraire, la collaboration se porte bien.