Pourquoi le lobby bancaire fait-il la guerre au cash ?
30 janvier 2016 11:03, par H.M.Le cash est un pognon sur lequel il n’ont pas un contrôle total. Insupportable pour nos vrais patrons. Le cash, c’est une part de notre pouvoir à nous les pauvres : les 20 euros que j’ai dans la poche, j’en fais ce que je veux et surtout, je peux les donner de la main à la main. C’est hors de contrôle. C’est inadmissible.
La pièce que je donne au musicien de rue, fini... Le café que je paye sans que mon banquier le sache, fini... Tout doit pouvoir être tracé.
Qui a voté, dans le monde, pour la fin du cash ? Personne. Ces décisions, qui vont affecter très directement nos vies à nous, sont prises à des niveaux de pouvoir stratosphériques. Ce ne sont pas les Hollande, les Obama, les Merkel qui décident de ça : eux sont juste les Kapos que nous avons eu l’illusion de désigner et qui sont là pour nous imposer ce genre de saloperies, voire juste pour détourner notre attention pendant que les vrais maîtres préparent entre eux la petite cuisine de notre asservissement définitif.
Ces gens nous ont déclaré la guerre et on est là, à les regarder décider de notre vie sans réagir...
Et évidemment, ce n’est pas un complot : c’est dit clairement et simplement, comme dans l’article en question. La preuve que les politiques sont des pantins et que ce sont les gens dont le métier est de créer le pognon ( des institutions indépendantes de l’état... ) qui sont nos vrais maîtres. Par contre, si vous et moi, nous allons photocopier notre billet de 50 euros ( car c’est ce qu’ils font, eux ), c’est direct en prison.
Conclusion : le début de la merde, c’est quand Pompidou ( ex banquier Rothschild, sûrement une coïncidence ) décide que l’état ne se financera plus lui-même, mais sur les marchés. Début de la dette inextinguible qui nous a amenés là où on est avec la complicité de nos "élites". Qui sortent peu ou prou des mêmes écoles que les banquiers. Encore une coïncidence.
On vote pour des politiques alors que c’est aux banquiers qu’il faut demander des comptes. C’est quand même bien foutu...