Mexique : bafouant le code d’honneur, les gangs déciment des familles
7 août 2016 17:26, par Mr. SánchezLa question de la réalité mexicaine actuelle va bien au-delà des effets de la criminalité liée au trafic de drogue. Au Mexique on vit la réalisation d’un programme établie depuis la naissance du pays, donc pour bien comprendre de quoi s’agit-il aujourd’hui il faut chercher profond dans l’histoire du pays. Malheureusement le Mexique c’est une nation artificielle, car ce n’est pas, comme on le croit, le produit du mélange de deux cultures ou deux visions du monde ayant voulu construire souverainement et en harmonie un nouveau peuple. Il s’agit ici de l’imposture brutale d’un groupe d’apatrides cupides manipulés d’abord pour l’église catholique et puis par les forces occultes sur des cultures originelles. Les grandes dates de l’histoire mexicaine ont été marquées par la violence la plus indécente entre mexicains et le chaos culturel et idéologique absolu comme guide. Finalement, ces sont les intérêts matériaux étrangers et des « élites mexicaines » qui ont toujours triomphé, tel comme ça se passe aujourd’hui. Actuellement le mexicain moyen ressemble ni plus ni moins à un mouton, que si bien on peut lui reconnaitre certaines valeurs néanmoins agit toujours sous la contrainte de la violence. Donc le pouvoir revient naturellement à ceux qui détiennent la force des armes. On a beau avoir une Constitution politique, mais sur le terrain des faits ça ne serve strictement à rien. Voilà qu’aujourd’hui on a un peu plus de cinquante millions de gens vivant dans la pauvreté extrême (des miséreux qui ont été engendrés par d’autres miséreux) et l’anarchie la plus totale car ils sont hors portée de la force de l’État. Avec une telle masse de lumpen prolétariat aussi avide d’argent et pouvoir comme ceux qui nous gouvernent que peut-on espérer ? Une chose c’est sûre : dans les deux sphères de notre réalité, c’est sont toujours les pires exemplaires, la pire racaille, qui atteignent tous les postes de décision. Bon jour le désastre national, vive le tiers-monde !